En résumé :
- Cette hybridation, en essor en raison des enjeux sociétaux, se caractérise par un mix de capitalisme, d’engagement social et de service public rendu.
Elle repose sur trois dimensions clairement assumées : une finalité sociale, une gouvernance démocratique, une répartition des produits financiers.
- Les entreprises sociales, plus résilientes que les entreprises classiques, jouent un rôle pionnier dans l’ancrage territorial et la découverte de nouveaux secteurs.
Leur petite taille les conduit à s’orienter soit vers un accroissement interne, soit vers une mutualisation renforcée via un réseau.
- Pour atteindre les meilleurs résultats sur le plan social, une double condition :
- Avoir, dès leur fondation, mis l’objectif social au cœur de l’entreprise, plutôt que le métier.
- Avoir su, en plus, au fil de leur croissance, développer une forte performance économique.
Les entreprises d'insertion doivent veiller à maintenir l'équilibre de cette hybridation ; elles constituent un excellent terrain d'observation pour ce modèle innovant.
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Les membres du panel :